Bonjour, il y a un peu plus d'un an j'ai choisi, très difficilement, d'avoir recours à une ivg médicamenteuse. Je suis mariée et maman de deux fillettes de 12 et 8 ans aujourd'hui, j'ai bientôt 40 ans. A l'époque j'étais dans le brouillard concernant mon couple et ma propre vie de femme en quête d'épanouissement. Cette décision s'est faite dans ce marasme et depuis je ne cesse de croire qu'elle n'a pas été la bonne décision. Regrets et dépression ont suivi cet acte douloureux. J'ai eu très envie de refaire un bébé pour me soigner mais j'ai finalement préféré me guérir avant.Depuis c'est le doute et le flou total quant à cet épisode qui a littéralement modifié mon être profond. Aujourd'hui je ne sais pas où se situe mon mal être : culpabilité pour cet acte psychiquement compliqué ou désir frustré d'enfant? J'avais toujours dit aux personnes qui me demandaient "à quand le petit dernier ?" : "s'il arrivait par surprise ce serait bien car pas de questionnement!" : j'ai fait tout le contraire!
Je suis perdue malgré un travail fait en amont et beaucoup de dialogue, j'ai l'impression de tourner en rond. Merci pour votre aide.
Pourquoi n'aurai je pas droit au Bonheur ?
De tout temps, l'inspiration, l'art et la créativité prennent leur source dans le malheur, le spleen, le blues... autant d'états émotionnel faisant couler de l'encre. Et pourtant, il y a tant de gens qui cherchent à être heureux, sans y parvenir. Alors y a-t-il des lignées, des générations, des types de personnalités, des histoires ou parfois un intérêt caché à rester malheureux (appelé bénéfice secondaire en psychologie)? Certaines personnes peuvent t elles s'interdire d'être heureuse et comment en sortir ?